A peine arrivé de Paris je dois me presser car je n’ai que 20 minutes avant l’embarquement de ma correspondance pour Stockholm, point de départ d’un voyage beaucoup plus long cette fois vers l’Australie.
Le routing du voyage :
La liste des billets racontant ce voyage est disponible en bas de page.
Correspondance
Le vol en provenance de Paris a débarqué par bus et j’espère que cela ne va pas me mettre en retard pour cette courte correspondance, d’autant plus que suite à un pépin de santé je marche plutôt mal et lentement à ce moment. Bien évidemment je n’aurai pas le temps de me rendre au lounge.
Munich est toutefois un aéroport fluide et agréable pour les correspondances.
Je traverse donc la zone duty free en commençant par une boutique très couleur locale.
Il y a vraiment des aéroports plus désagréables pour une correspondance.
J’arrive en porte à l’heure précise de l’embarquement pour apprendre que finalement nous embarquerons avec un peu de retard.
Après une grosse dizaine de minutes l’embarquement commence.
Embarquement
Les passers business et star alliance gold embarquent en premier, c’est très bien organisé, fluide et les priorités parfaitement respectées.
C’est donc sans anecdote particulière que je pénètre dans la cabine.
Cabine et installation
Faut il encore présenter la cabine Lufthansa et ses sièges NEK ?
L’aspect est premium mais ils approchent de leur fin de vie et sont progressivement remplacés par des sièges plus confortables et du plus bel effet.
Il y aura 4 rangs de business et contrairement à mon premier vol de la journée où j’étais seul, la cabine sera pleine.
L’embarquement traine car il manque des passagers et des valises. J’en profite pour m’acheter en ligne mon ticket d’Arlanda Express pour rejoindre le centre de Stockholm une fois arrivé.
Le temps n’est pas meilleur qu’à Paris.
On termine l’embarquement avec 10 minutes de retard et on repoussera 10 minutes plus tard.
Le vol et le service
On rejoint rapidement la piste et j’en profite pour vous partager la vidéo du décollage.
Une fois passée la couche nuageuse on revoit avec plaisir un beau ciel bleu.
Le service commence 30 minutes plus tard. Les plateaux sortent du galley et nous sont apportés sans trolley, c’est tout de même plus joli comme service.
Un peu de négligence : ils auraient au moins pu comme sur le vol de Paris enlever les couvercles avant le service, ça fait quand même plus pro.
C’est quand même plus joli comme ça.
Et comme toujours chez Lufthansa le fameux plateau carré qui ne tient pas sur une tablette rectangulaire !
Pains et croissants chauds et croissant bien réchauffé qui ne ressemble pas à du chewing gum.
La charcuterie et le fromage seront bons.
Le fromage blanc sera léger et j’y ajouterai le contenu du pot de confiture pour faire bonne mesure.
La suite du vol se poursuit sans histoire avec quelques turbulences en arrivant vers les côtes suédoises.
Atterrissage et arrivée
Alors que l’on commence la descente je me rends compte qu’ironiquement le temps est beaucoup plus dégagé en Suède qu’à Paris ou Francfort ce matin.
Atterrissage sans histoires à Arlanda.
Lors du débarquement je remarque une chose déjà observée lors de mon dernier passage à Stockholm : les passagers de la moitié avant de l’avion débarquent par la passerelle et ceux de l’arrière par un escalier en passant par l’extérieur. Plus rapide mais moins sympa lorsqu’il pleut.
Je dis au revoir à mon oiseau du jour.
Je traverse le terminal et ses boutiques qui n’étaient pas encore toutes rouvertes lors de mon dernier passage en raison du COVID. Ca fait plaisir de voir des terminaux qui vivent « comme avant ».
Je n’attendrai pas longtemps avant que tapis bagage ne se mette en action et déverse les premières valises. Ca change de Roissy.
Par contre leur tapis est assez bizarre : tout en longueur mais avec des bagages inaccessibles sur la moitié de sa longueur ! Bizarre.
Ma valise arrivera dans les premières et je file vers la gare prendre le Arlanda Express.
Arlanda est très éloigné de Stockholm mais ce train hyper confortable qui roule à 200 km/h nous amène en centre ville en 20 minutes. L’ensemble fait très bonne impression et cette voiture est même équipe de tabourets et tablettes pour travailler !
A chaque fois que je prend l’Arlanda Express je pense à quel point la desserte de Roissy en RER B est indigne à la fois de Roissy et de la ville qui reçoit le plus de visiteurs au monde. En attendant le CDG Express en 2027 ?
Conclusion
Un vol sans histoire.