Dernière ligne droite pour rentrer à Paris après ces vacances au bout du monde : un vol au départ de Stockholm et à destination de Zurich d’où je prendrai une correspondance pour Paris. Ce vol sera sur Swiss en 320Neo.
Rappel du routing aérien de ce voyage :
Et vous trouverez en bas de page la liste de tous les article sur ce voyage en Australie.
Correspondance et parcours au sol
Je suis donc arrivé de Bangkok au petit matin avec un peu plus de deux heures de correspondance à tuer à Stockholm. Les différents contrôles pour rejoindre le niveau départs on été extrêmement fluides mais ça c’est une habitude à Stockholm et en Scandinavie en général.
J’ai fait un passage rapide au Norrsken Lounge (pitoyable), un tout aussi court au salon SAS Gold de Stockholm (que je ne vous présenterai pas une énième fois) et j’ai été déjeuner comme à l’aller à l’excellent salon Amex by Pontus.
J’arrive à la porte d’embarquement avec quelques minutes d’avance.
Notre avion est déjà là et nous attend.
Un peu de spotting en attendant l’embarquement avec les deux soeurs Air France et KLM qui passent à quelques minutes d’intervalle.
Embarquement
Une annonce est faite pour demander aux gens d’enregistrer leurs bagages à main s’ils en ont plus d’un car le vol est plein.
L’embarquement démarre à l’heure et avec un strict respect des priorités. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire je suis à bord.
La cabine de l’A320 Neo de Swiss
On retrouve la traditionnelle cabine moyen courrier de Swiss qu’il n’est plus la peine de présenter, avec bien sûr le siège du milieu neutralisé.
L’espace pour les jambes est très confortable.
Le seul reproche que je fais à cette cabine est l’absence de prises de courant ou USB.
Un passager est manquant et ses bagages sont débarqués, ce qui nous fait perdre une dizaine de minutes.
Nous sommes enfin prêts à partir. Les 7 rangs de la cabine business sont pleins.
Le vol et le service
Dès l’extinction des consignes lumineuses le service commence et je prends une coupe de champagne en apéritif.
Les commandes pour les plats sont prises au siège et les plateaux ensuite apportés individuellement. En attendant que le mien arrive j’aurai un refill de champagne.
On a le choix entre des saucisses ou des champignons avec un gratin de pommes de terre. Mon choix se porte sur les saucisses.
La semoule faisant office d’entrée est rafraichissante, les saucisses bonnes ainsi que la sauce et finalement ce plat est moins lourd que ce que à quoi je m’attendais même si j’ai déjà eu mieux sur Swiss.
On me resservira plusieurs fois du vin jusqu’à l’arrivée.
L’occasion de servir ma pique habituelle aux compagnies qui disent qu’il est « impossible » de servir du chaud et a fortiori d’offrir un choix de plats chauds sur des vols de 2h car c’est trop de charge pour les équipage. Suivez mon regard.
Le dessert sera correct même si le chocolat aurait pu être plus moelleux.
Bon, depuis mon départ de Sydney j’ai enchainé 2 longs courriers, fait 12 lounges, je commence aussi à saturer et suis pressé d’en finir.
Le personnel Swiss
Très agréable et efficace comme souvent.
Arrivée et débarquement
Fin de vol sans encombre, on se pose et allons nous parquer à côté d’un Easyjet.
Je me dirige vers le salon pour attendre mon vol vers Paris. Un peu fatigué et saturé….
Conclusion
Un vol sans histoire comme souvent avec Swiss. On sait à quoi s’attendre et la promesse est tenue.