Après un séjour encore une fois décevant au salon, je me dirige vers l’embarquement de ce vol domestique.

Embarquement

L’embarquement est encore une fois bordélique, et commence 25 minutes avant l’heure de départ (qui avait été retardé de 10 minutes plus tôt dans la matinée).

Le pré-boarding des familles avec bébés est effectué, puis directement la zone 3… Je dois me frayer un chemin pour accéder au boarding, qui se fait via un unique portillon (j’imagine pour faire respecter la distanciation sociale).

Cabine et accueil

La cabine des A320 Lufthansa est toujours la même… Celle-ci ne fait donc pas exception.

L’accueil est courtois et souriant (mais avec un masque).

Je prends place en 2A et resterai sans voisin pendant ce vol.

Service et catering

Le service commence à peine l’altitude de 10 000 pieds atteinte, et ce, en raison de la faible durée du vol (35 minutes).

Il est très courtois et souriant, je suis appelé par mon nom à chaque interaction.

Je ne serai pas fan du snack, à base de poivrons que j’exècre. Le dessert (le même qu’à l’aller) était néanmoins très bon, et les chocolats aussi.

Arrivée et débarquement

Quel bazar cette arrivée ! Nous avons été positionnés sur une porte non-Schengen, puis il n’a avait plus assez de place pour mettre une passerelle en porte 1L pour faire débarquer les passagers…

Tout le monde a donc dû débarquer par l’arrière, les passagers Business en dernier évidemment.

Heureusement qu’un bus spécial pour les passagers Business avait été prévu.

Conclusion

Un vol très correct, mais l’organisation bordélique de Francfort commence à me taper sur le système.

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