C’est la dernière étape d’un long périple qui m’a fait passer en moins d’une semaine par la Suède, la Turquie et la le Mexique : le retour à Paris. Ce sera via Zurich avec Swiss en business.
Pour rappel le routing de ce périple :
Et tous les articles qui lui sont liés.
Enregistrement et parcours au sol
C’est aux aurores que je quitte le Gothia Towers pour rejoindre l’aéroport de Goteborg Landvetter. ll fait nuit noire et pas très chaud, surtout lorsqu’on était au Mexique 24h plus tôt, mais au moins il ne pleut pas.
Devinez quoi : un dimanche matin à 7h l’aéroport est quasi vide.
Sauf chez TUI….sûrement un charter matinal.
Détail amusant je me dis que j’étais ici il y a exactement un an, première visite de la ville après un passage express en correspondance avant le COVID. Je ne pensais pas y revenir 3 fois en 12 mois.
Bref, l’enregistrement se fait en un temps record et je file passer les contrôles de sécurité. En général à Goteborg c’est fluide et cela va vite. Encore plus vite en fast track.
Voilà la file qui m’attend.
2 minutes plus tard après un contrôle toujours assez « décontracté » ici et quelques échanges détendus avec le personnel, je dirige vers le salon non sans avoir une fois de plus donné une excellente note à mon expérience.
Le salon SAS étant encore fermé je me rabats sur le salon Vinga.
Comme lors de mon dernier passage il est plutôt agréable et ce d’autant plus qu’il est vide. L’offre de restauration est correcte sans plus.
Toujours mieux que rien pour patienter.
Au loin je vois mon oiseau du jour qui m’attend.
Le salon commence à se remplir et certains attaquent déjà à la bière. Soit.
Il est temps de se rendre en porte d’embarquement. Le trajet est rapide et les couloirs du terminal vides.
A peine suis-je arrivé que l’embarquement démarre. Excellent timing.
L’embarquement
Un coup d’œil dehors me fait réaliser que l’appareil n’est pas au contact et qu’il faudra marcher. Au moins il ne pleut pas.
Les priorités d’embarquement sont respectées et je suis un des premiers à descendre sur le tarmac. L’occasion d’immortaliser notre A220 de près.
Et me voici dans la cabine.
La cabine business de l’A220 Swiss
Cette cabine je vous l’ai déjà montrée à plusieurs reprises.
Elle est en configuration 2-3. Les sièges côté allée du côté de 2 et centraux du côté de 3 sont bien sûr neutralisés.
La cabine, assez premium, fait belle impression. Par contre j’ai trouvé le siège plus dur qu’à mon souvenir. Un effet d’un réveil trop matinal et d’une nuit trop courte ?
Je suis en rang 1 et j’ai un peu moins de place pour allonger mes jambes que si je pouvais les glisser sous le siège de devant mais cela reste très convenable.
Bien sûr cela n’a rien à voir avec mon Turkish Airlines de la veille.
Un coup d’œil dehors me fait apprécier les embarquements prioritaires : cela évite d’attendre dans le froid dehors.
Tout le monde finit par embarquer et nous sommes prêts à partir.
La cabine business sera bien remplie : nous serons 12 sur 6 rangs pour un maximum de 18.
Le vol et le service
Les consignes de sécurité sont diffusées sur les mini-écrans. Swiss a choisi d’en équiper ses A220 à l’inverse d’Air France.
On décolle et dit rapidement au revoir à la campagne suédoise.
Je m’installe en préparation du service : le siège neutralisé accueillant mon Ipad en guise d’IFE.
Le plateau arrive enfin.
Le pain et les croissants sont chauds et ne tombent pas dans l' »effet chewing gum ».
La pizza/quiche est plutôt bonne mais n’est pas assez copieuse.
J’accompagnerai le tout d’un thé et d’un verre d’eau gazeuse…d’autres sont déjà au champagne ou au vin rouge.
Une prestation très correcte somme toute mais qui me me maintient dans mon idée selon laquelle le petit déjeuner est le parent pauvre des prestations en avion. Si on regarde, par exemple, ce que Swiss m’a servi à l’heure du déjeuner entre Zurich et Stockholm, il y a tout de même un écart significatif.
Comme d’habitude tout cela se termine avec un (bon) chocolat.
J’essaie de terminer ma nuit sur le temps de vol restant en profitant du paysage.
J’en profite pour saluer le confort et le silence de cette réussite qu’est l’A220.
Atterrissage et arrivée à Zurich
On commence notre descente et après la traversée de l’épaisse couche nuageuse on touche le sol à Zurich où je retrouve la pluie que j’avais évité à Goteborg.
Direction le terminal où nous allons nous stationner aux côtés d’un Iberia.
Il ne me reste plus qu’à débarquer et, pour ma part, à aller attendre mon vol pour Paris au salon.
L’équipage
Du Swiss tout craché : efficace, présent et disponibles, chaleureux juste ce qu’il faut sans être familiers.
Conclusion
Bonne prestation sur ce vol Swiss même si je regrette que le petit déjeuner ne soit pas à la hauteur des prestations servies à d’autres heures de la journée. Et mention spéciale pour le confort et le silence de l’A220.
Goteborg-Zurich en Business sur Swiss
Enregistrement
Embarquement
Cabine : siège
Cabine : propreté
Divertissement en vol
Nourriture : goût
Nourriture : recherche
Nourriture : présentation
Nourriture : choix
Personnel :Service
Personnel : disponibilité, amabilité
Débarquement
Lounges / service et expérience au sol
Ponctualité
Rapport Expérience/prix
Bon
Bon vol dans un A220 très confortable mais le petit déjeuner est perfectible.