Un vol insipide et sans grand intérêt pour terminer ce voyage mais il ne fallait attendre autre chose d’une courte correspondance prise après un court long courrier de nuit.
Je n’attendais pas grand chose de ce vol et finalement je n’ai donc pas été déçu. On sait que le moyen courrier de SAS est loin du niveau de son produit long courrier et quand on sait qu’on arrive en général plutôt fatigué et en manque de sommeil d’un vol de nuit depuis le nord est des Etats-Unis, tout était réuni pour que ce vol ne reste pas dans les annales.
Pour mémoire, le routing aérien de ce voyage.
Vous trouverez en bas de page le récapitulatif des articles sur ce séjour à Boston, New York et la Nouvelle Orléans.
Parcours au sol
A la descente de mon vol arrivant de Boston il me reste une heure avant le départ de celui pour Paris avec tout l’aéroport à traverser et qui connait Copenhague sait que cela fait une certaine distance.
Pas de chance, pour une fois les contrôles d’immigration sont lents avec, bizarrement, une guérite ouverte pour les passeports européens et quatre pour « tous passeports ».
Trop tard pour changer de file et je prends mon mal en patience…
Je finis par passer et pique un sprint jusqu’au bout de l’aéroport pour attraper mon prochain vol.
Embarquement
Bien sûr pas le temps de passer au salon et j’arrive en porte juste au moment où l’embarquement commence.
Les gens sont disciplinés et attendent sagement l’annonce pour se diriger vers la porte donc je me retrouve second à pénétrer dans le jetway.
La cabine
On a affaire à l’habituelle cabine moyen courrier de SAS avec de jolis tons gris très sobres.
Le siège est un peu fin à mon gout mais l’espace pour les jambes très convenable même au premier rang.
Par chance je n’aurai pas de voisin sur ce vol (la SAS plus est une premium economy et pas une business class et la compagnie ne bloque en plus pas le siège central…).
Absolument rien de notable ni d’exceptionnel donc.
Le vol
Nous embarquons à l’heure et l’embarquement sera assez rapide ce qui fait que nous partirons à l’heure.
Nous nous alignons sur la piste…
Au revoir Copenhague….
On survole un petit champ d’éoliennes…
Un peu plus tard on nous apporte le petit déjeuner.
Je suis rarement inspiré par les petits déjeuners, je n’ai pas faim, je suis fatigué, je mangerai la charcuterie (pas mal) et ne toucherai pas reste, préférant somnoler jusqu’à l’arrivée à Paris.
Je me réveille peu de temps avant l’atterrissage.
Arrivée
Nous arriverons à l’heure et j’irai patienter à la livraison des bagages. Arrivée 10h20, livraison affichée en cours à 10h54, le tapis se met en marche à 58 et les valises arriveront au compte goutte… Roissy toujours aussi mauvais sur le sujet.
Equipage
Agréable mais j’ai passé mon temps à dormir et n’ai pas trop pu tester leur efficacité.
Conclusion
Un vol un peu triste pour à la fois en finir avec ce voyage et terminer probablement ma belle histoire avec SAS qui ne présent plus d’intérêt maintenant qu’elle rejoint Skyteam… je préfère garder le souvenir de mon Boston-Copenhague qui a été parfait.
Les articles sur ce séjour à Boston, New York et la Nouvelle Orléans
Copenhague-Paris en SAS Plus
Siège et cabine
Catering
Service
Ponctualité
Rapport Expérience / Prix
Bof
Vol court, prestation moyenne, passager fatigué....
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