Dernier segment de cet itinéraire aller vers Madrid depuis Paris avec la TAP.
Pour rappel, voici l’itinéraire suivi :
Embarquement
Pendant mon séjour au salon, j’ai remarqué le départ serait décalé d’environ 25 minutes sur FlightRadar24, bien que rien ne soit annoncé sur le FIDS.
D’ailleurs, je pars du salon alors que la mention « Boarding » apparaît sur ce même FIDS, environ 40 minutes avant l’heure théorique de départ. Pas surprenant de prime abord puisque le vol étant opéré en Embraer 190, le stationnement au large est systématique.
Lorsque j’arrive en porte, l’embarquement prioritaire se termine et quelques passagers avant que ma carte d’embarquement ne soit scannée, ce dernier est arrêté et les passagers déjà en passerelles ramenés devant la porte d’embarquement. Pas vraiment bon signe, mais absolument aucune annonce ne sera effectuée, ni en portugais ni en anglais pour expliquer le problème. Près une bonne demi-heure d’attente dans le flou, l’embarquement débute et nous descendons en effet par les escaliers pour nous rendre sur le tarmac.
Là, pas de bus, qui mettra près de 15 minutes à arriver.
Après un long cheminement sur les taxiways de l’aéroport, nous arrivons enfin à notre appareil et pouvons embarquer.
Cabine et accueil
La cabine Business de cet Embraer 190 est composée de 3 rangées, séparées par un rideau de la cabine Economy. Évidemment le jour et la nuit par rapport au vol précédent.
De plus, TAP ne procède pas au blocage du siège attenant sur les appareils régionaux en classe Business. Heureusement, je n’aurais pas de voisin pour ce court saut de puce vers la capitale espagnole.
En fin d’embarquement, le commandant de bord nous annonce une régulation du contrôle aérien qui impose un départ retardé de nouveau de 30 minutes.
C’est avec près d’1h20 de retard que nous quittons notre point de stationnement.
Service et catering
Le service débute une vingtaine de minutes après le décollage, ce qui semble long pour un temps de vol réduit.
Le plateau servi est évidemment plus petit que sur le vol précédent, mais cela se comprend vu le temps passé en l’air.
Le sandwich jambon-fromage était très bon, et les fruits bien mûrs.
Je prendrais en accompagnement un Black Label on the rocks qui me rafraîchira jusqu’à l’atterrissage à Madrid Barajas.
Arrivée et débarquement
Nous arrivons à Madrid avec une bonne heure de retard sur l’horaire prévu, mais je serais rapidement landside.
Conclusion
Un vol moyen avec un équipage moyen. Et un retard inacceptable.