C’est en milieu de nuit que j’arrive à l’hôtel. Je n’ai qu’une hâte, plonger dans un lit bien douillet.

Pour rappel voici l’itinéraire suivi :

Réservation

J’ai procédé à la réservation de cet établissement quelques semaines avant mon arrivée.

J’ai en effet décidé de décaler et d’avancer mon vol pour Doha au lieu d’avoir une correspondance de trois heures qui m’obligeait d’ailleurs à partir de l’aéroport de Gatwick.

À Doha, j’ai donc choisi le JW Marriott qui me semblait d’être un rapport qualité-prix excellent.

C’est donc pour un peu plus de 100€ la nuit que je réserverai dans cette établissement pour une nuit, en précisant dès la réservation que j’arriverai en plein milieu de la nuit c’est-à-dire peu après 4h du matin.

Je décide, en guise de test, d’appliquer un Suite Night Award à cette réservation. Cinq jours avant mon arrivée, ce Suite Night Award est accepté, et je serai donc dans une suite exécutive pour ce séjour.

Il n’y aura pas de surclassement supplémentaire en plus du Suite Night Award : en parallèle, quelques jours avant mon arrivée, je décide de réserver un transfert depuis l’aéroport auprès de l’hôtel. Ce transfert réservé, ils m’ont coûté 40 € pour l’aller.

Arrivée

Après avoir retrouvé mon chauffeur qui m’attendait aux arrivées de Doha Hamad International, je rejoins l’hôtel en 40 minutes après un trajet totalement désert.

Personne pour m’accueillir dehors, mais le chauffeur m’aide à sortir ma valise du coffre. Je passe un contrôle de sécurité, dois montrer mon Green Pass qui est encore en vigueur à Doha pour entrer dans les établissements recevant du public, et me dirige vers la réception.

Le check-in se fait très facilement, et en moins de cinq minutes, je suis dans ma chambre. Il m’est indiqué que j’ai accès au salon grâce à mon statut Ambassador chez Marriott Bonvoy, et que le petit-déjeuner sera servi au restaurant et non au salon.

Chambre

Ma chambre était située au 21e étage de l’établissement.

L’entrée débouche sur un espace salon, assez spacieux, mais finalement assez peu meublé. On voit que la chambre est désormais usée, que des éléments de décoration sont manquants, et le minibar est vide. Pour un établissement JW Marriott, cela reste décevant. Une prestation de bienvenue à été déposée à mon attention sur la table basse, toujours appréciable.

La pièce principale comprend un grand espace salon, avec de larges et confortables canapés, ainsi que d’un bureau situé près de la fenêtre. Les prises de courant du bureau sont difficilement atteignables, et j’aurai grand mal à brancher ordinateur et téléphone lors de ma session de travail le lendemain matin.

La deuxième pièce est l’espace nuit, muni d’un lit king size qui s’avèrera très confortable, de rideaux bien occultants qui me permettront de faire une belle sieste avant de démarrer ma journée de travail, de larges placards, et d’un téléviseur bizarrement placé sur le côté de la chambre. Encore une fois tout semble un peu usé, et même chose, et la décoration semble manquer.

Enfin, la salle de bain est bien équipée, avec baignoire, douche, espace toilettes séparées, et une grande vasque de toilette.

Je dois avouer que la chambre n’est pas vraiment conforme aux photos, la décoration semble très datée, et je pense que je ne séjourneraid vraisemblablement plus dans cette hôtel.

Pour finir voici la visite virtuelle en vidéo :

Équipements de l’hôtel

L’hôtel est équipé d’une salle de fitness, d’une piscine et d’un spa, situés au deuxième étage de l’établissement.

Piscine

L’hôtel est doté d’une large piscine extérieure, plutôt agréable. Néanmoins, la chaleur ambiante est assez étouffante, et ne permet pas de profiter correctement de la piscine. Le service est plus ou moins attentif, des bouteilles d’eau sont régulièrement distribuées aux visiteurs. Je ne resterai en revanche pas longtemps au vu de la chaleur étouffante.

Salle de fitness

La salle de fitness n’est pas très agréable, la ventilation est limitée, et les équipements sont d’assez mauvaise qualité, et peu entretenus.

L’elliptique ne fonctionnera pas, et le vélo est tellement peu graissé qu’il est totalement impraticable. J’abandonnerai ma session et la reprendrai en arrivant à Bangalore.

Restauration

L’hôtel est doté de plusieurs établissements de restauration, que je n’essaierai évidemment pas tous. Il est également pourvu d’un Club Lounge, auquel j’ai accès en tant que membre Ambassador, et de surcroît séjournant dans une suite.

Club Lounge

J’accèderai au Club Lounge plusieurs fois dans la journée après ma courte nuit de repos. L’espace est immense, très agréable, et occupe la totalité d’un étage de l’hôtel. Au moment du petit-déjeuner, tout est absolument vide, mais il est possible de se faire un café.

À l’heure du thé, des friandises sont disponibles, il est possible de prendre un café avec quelques petits gâteaux en passant le temps, notamment en attendant son vol tardif.

Le personnel du salon cela sera variablement agréable, l’hôtesse du matin sera aux petits soins, en revanche les messieurs de l’après-midi seront beaucoup moins sympathiques.

Service du petit déjeuner

Pour le service du petit-déjeuner, je me dirige vers le restaurant buffet situé au deuxième étage de l’établissement. Je suis rapidement pris en charge par l’hôtesse, et m’installe à l’une des tables libres.

Il s’agit d’un buffet intégral, des boissons et éléments salés et sucrés, froids comme chauds. N’ayant pas forcément très faim après cette courte nuit de sommeil, je choisirai des pancakes, que j’affectionne tout particulièrement quand ils se sont faits minute. Je ne tarderai pas, et retournerai travailler dans ma suite.

Départ

Les formalités de départ ont été simplissimes, et la facture me sera envoyée dans les minutes qui suivront mon départ sur mon adresse e-mail. Je prendrai un Uber pour me rendre à l’aéroport, qui arrivera tardivement.

Conclusion

Un séjour en demi-teinte. Si l’établissement est plutôt de bonne facture, la décoration des chambres est très fade, et l’état général des chambres est déplorable. Je privilégierai l’une des autres options Marriott de Doha lors de mon prochain séjour.

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