Dans le cadre de la promotion d’Atlantic Airways et des Îles Féroé en France, Travelguys s’est rendu avec des confrères médias d’influence aux Îles Féroé, à l’invitation de la compagnie des Îles Féroé, Atlantic Airways et du GroupExpression.
Retrouvez le programme de la série d’articles qui seront consacrés à Atlantic Airways :
Review# | Type | Article |
1 | Découverte | Atlantic Airways : l’ambition atlantique |
2 | Vol | Paris-Îles Féroé sur Atlantic Airways : une excellente introduction à l’archipel féroïen |
3 | Vol | Torshavn-Klaksvik-Kirkja-Klaksvik : se mettre dans la peau de James Bond |
4 | Vol | Îles Féroé-Paris sur Atlantic Airways |
Après 3,5 jours d’un voyage probablement trop court, nous reprenons la route de l’aéroport de Vagar pour notre retour vers Paris. Le départ est prévu à 9h, nous arrivons sur les coups de 7h30.
On vous l’a déjà dit à l’aller : l’aéroport international des Îles Féroé, situé à Vagar, n’est pas grand. Le niveau arrivée est le même que le niveau départ. Nous nous dirigeons vers le check-in.
Pour les adeptes de la dernière seconde, un comptoir de ticketing est toujours présent.
Quelques comptoirs d’enregistrement et de dépose bagage, mutualisés entre les compagnies (SAS, Atlantic Airways et Wideroe) qui desservent l’archipel.
Notre appareil, un A320 neo, arrive de Copenhague par le vol du matin (quotidien). On peut voir les mouvements d’avions depuis la zone de check-in.
La boarding pass est estampillée aux couleurs de la compagnie. Fait rare, on y voit même la classe tarifaire exacte.
Après un rapide passage au duty free, nous pouvons embarquer.
La cabine est sensiblement identique à l’aller. Le vol est supposé durer 2h35.
Alors que je prends place, le commandant de bord invite un collègue ainsi que moi-même à prendre place à bord du poste pour le décollage.
Nous repoussons à l’heure. Notre charmant CDB n’a pas fait toute sa carrière chez Atlantic Airways : il a d’abord fait WOW Air en Islande.
PNC, roulage court… nous empruntons la raquette de retournement pour nous positionner en début de piste.
Décollage à l’heure, mais le plafond nuageux est très bas. Nous ne verrons en pratique pas grand chose.
Comme à l’aller, un peu de catering a été arrangé pour nous. Il s’agit vu l’heure matinale d’un petit déjeuner.
L’offre est très satisfaisante. On trouve une grosse omelette, du granola avec yaourt, une tranche de pain et de fromage, et de quoi faire une tartine continentale avec confiture.
Le vol se déroule normalement.
Le magasine de bord offre des distractions assez particulière comme l’histoire de chaque nom de baptême derrière les appareils…
Les vents nous ont été favorables car nous arriverons à Paris avec un peu d’avance. Cela nous nécessitera de faire un rare tour d’hippodrome au dessus de la Normandie pour attendre l’autorisation d’atterrir.
Touchdown sous le soleil radieux de Paris.