Ce vol en business class sur Air France entre Porto et Paris me confirme l’impression que j’avais à l’aller à savoir une montée en gamme sensible qui tranche avec mes expériences passées.

Pour mémoire le routing aérien de ce voyage.

Vous trouverez en bas de page un récapitulatif des articles sur ce séjour à Porto.

Parcours au sol

J’arrive à l’aéroport largement en avance en Uber. Depuis l’hôtel cela m’a pris 20 minutes pour 10 euros.

Je me dirige vers les contrôles de sécurité où la fast track sera totalement vide.

Je vais ensuite au bout du terminal où je prendrai l’ascenseur pour rejoindre le très médiocre salon ANA de l’aéroport.

Un salon tellement médiocre que je le quitterai longtemps avant l’heure de l’embarquement, préférant me balader dans le terminal.

Alors que rien n’est indiqué sur les panneaux Tripit me signale un retard de 15 minutes au départ et 30 à l’arrivée pour le vol entrant. Panneaux qui d’ailleurs passent plus de temps à faire de la publicité pour l’application de l’aéroport qu’à indiquer les vols, ce qui est plutôt énervant.

Embarquement

Je finis par rejoindre la porte et à ce moment seulement on annonce un embarquement retardé de seulement 10 minutes. Ce qui n’empêche pas les gens de rester agglutinés devant la porte ….

L’embarquement prioritaire commence enfin mais on reste ensuite coincés dans la passerelles pendant 10 minutes vu que le débarquement n’est pas terminé.

On pénètre enfin dans la cabine.

La cabine

On retrouve l’habituelle cabine moyen courrier d’Air France sur cet A319.

Contrairement à d’autres appareils les sièges n’ont pas mal vieilli du tout.

L’espace pour les jambes est correct, sans plus.

Il y a 3 rangs de business class sur ce vol pour 12 places qui seront toutes occupées, dont une par une hôtesse en uniforme.

Le vol

On nous distribue une lingette rafraîchissante de bonne qualité pendant l’embarquement mais pas d’eau.

On finira par partir avec 20 minutes de retard ce qui est un moindre mal. Bye bye Porto.

Nous décollons et après un dernier coup d’oeil aux cotes portugaises nous perçons la couche nuageuse et mettons le cap sur Paris.

Au bout de 40 minutes le service commence en classe éco mais toujours rien en business class. Même pas une goutte d’eau depuis le décollage, ils auraient pu distribuer des bouteilles quand même. Et le rideau de séparation n’est pas tiré.

L’hôtesse vient enfin me voir et me demande si « je désire diner ». Il n’est que 18h et vu le plat je trouve la formulation un peu prétentieuse mais bon…

Salade de quinoa aux asperges et mozzarella, Cantal AOP, Crottin de Chavignol AOP, Moelleux chocolat.

C’est frais, ça a beaucoup de gout et c’est bon même si je préfère ce qu’à servi KLM à l’aller. Par contre le pain bien que servi chaud est assez moyen.

Le moelleux par contre ne sera pas si moelleux que ça.

Finalement une prestation très correcte et en tout cas meilleure que ce à quoi Air France m’a habitué par le passé en business class.

Alors que nous survolons les côtes bretonnes nous virons vers Paris et commençons notre descente.

Arrivée

Après une descente sans histoire nous nous posons et rejoignons notre parking avec 30 minutes de retard.

Le service

Très correct sans être exceptionnel.

Conclusion

Pas le vol du siècle mais je sens quand même une amélioration très sensible sur le moyen courrier d’Air France par rapport à mes expériences passées.

Les articles sur ce séjour à Porto

Articles similaires

Boeing 787 d’Air France : Un vol en condition réelle Review : Air France – Economy – Lisbonne-Paris – A321 Air France Business post-COVID, Paris CDG – Genève Cointrin, Airbus A320 : Service Ultra minimum Air France Business, Lyon Saint-Exupéry – Paris Charles-de-Gaulle, Embraer E190 : Enfin un équipage sympa ! Air France Business, Londres Heathrow – Paris Charles-de-Gaulle, Airbus A320 : Nul ! Air France Business, Lyon Saint-Exupéry – Paris Charles-de-Gaulle, Airbus A321 : Solide en vol mais expérience au sol très médiocre