Dans le cadre de la promotion d’Atlantic Airways et des Îles Féroé en France, Travelguys s’est rendu avec des confrères médias d’influence aux Îles Féroé, à l’invitation de la compagnie des Îles Féroé, Atlantic Airways et du GroupExpression.
Une série d’articles consacrés à Atlantic Airways a été publiée sur Travelguys, vous pouvez retrouver le programme dans le tableau suivant :
Mais il faut savoir qu’Atlantic Airways n’est que l’excellent ambassadeur d’un archipel aux multiples facettes, les Îles Féroé. Travelguys a passé, avec ses confrères The Travelers Club et Air Plus News, un étonnant week-end de découverte tout autour de l’île. C’est l’objet de la série que nous vous invitons à découvrir dès à présent :
Review# | Type | Article |
1 | Carnet | Jour 1, Klaksvik, Vilareidi et Torshavn – Dessine-moi un mouton |
2 | Carnet | Jour 2, Kvivik – Etonnante hospitalité insulaire |
3 | Carnet | Jour 3, Vagar – Retour au bout du monde |
Pour ce troisième et dernier jour de villégiature aux Îles Féroé, le programme est un peu plus sportif. Nous sommes conviés à une randonnée jusqu’à Traelanipa, cette fois à l’extrême ouest de l’île.
Le chemin s’annonce nuageux et froid, comme l’a été l’ensemble de notre séjour du point de vue de la météo. La randonnée, prévue pour 45 minutes dans chaque sens, se rapproche en fait du double de temps ! Mais pour le plus grand plaisir des yeux…
D’ailleurs, certains ne semblent pas être dérangés : les moutons qui se révèlent étonnement légèrement moins craintifs sur ce chemin. A Torshavn, il ne faut pas compter sur le fait de prendre ce type de photos aussi rapprochée d’un de ces animaux.
Nous arrivons finalement près du but. L’érosion naturelle des sols nous propose aujourd’hui de magnifiques falaises, avec un air de presque bout du monde. Attention tout est à l’état naturel, sans barrière pour les touristes aventureux. Ne pas s’approcher trop du bord et âmes sensibles s’abstenir.
Par ailleurs, Birgit a déposé son souvenir. L’histoire ne dit pas si c’est une locale ou une PNC de KLM.
Je serai le seul du groupe à tenter de m’aventurer un peu plus haut sur la falaise. Mais la réalité me rattrape vite, avec les terrains boueux et le chemin étroit, je préfère rebrousser chemin.
Les maîtres incontestables des lieux continuent à nous regarder impassiblement…
Après ce moment sportif, c’est l’heure d’un goûter bien mérité à Pakkhúsið í Bø, se trouvant dans un charmant village non loin de Vagar et de son aéroport, partie de l’île dans laquelle nous sommes en ce dimanche.
Notre arrivée est attendue et sommes dirigés au premier étage. Comme beaucoup d’établissement féroïens, on se retrouve dans une atmosphère très privée.
Le choix nous est donné entre fruits et chocolat, thé ou café… Je privilégie l’option réconfortante, quoique calorique.
Mais le programme nous rattrape et nous devons filer pour notre prochaine activité : un tour en bateau dans les eaux de Vagar.
La course initiale se déroule très bien, avec des paysages qui semblent toujours plus éloignés de la civilisation à mesure que l’on avance. Les eaux sont agitées, mais avec l’inertie du bateau nous ne le sentons guère.
Un deuxième groupe sur un autre appareil de la flotte nous grillera la politesse épisodiquement.
On se demande bien comment on fait pour aller au travail tous les jours en habitant ici. Mais cette dernière remarque est un peu trop urbaine.
Après toute une série de magnifiques vues de rochers érodés et quelques pertes dues au mal de mer, nous reposons finalement pied à terre. Et cela coïncide parfaitement avec une arrivée en provenance d’Aalborg, le ponton d’embarquement étant dans l’alignement de la piste de l’aéroport de Vagar.
A Torshavn, nous nous retrouvons pour une dernière soirée au restaurant ROKS. Le thème pour cette dernière soirée, sans surprise, est la grande fierté de l’archipel : le poisson.
Nous commencons par des chips de peau séchée de poisson, délicieux.
Arrosés bien évidemment de champagne, entorse s’il en est au programme gastronomique local qui aurait préféré la bière.
Le menu est particulièrement ludique, ROKS signifiant en féringien « amusement », d’après notre guide. C’est le début d’un festin qui rappelle indéniablement les kaiseki japonais, ces successions de petites bouchées gastronomiques.
Les entrées viennent. Et je ne m’attendais pas à un tel festin. En bas à droite vous reconnaissez probablement les oursins de mer : un aliment délicat, détestable s’il n’est pas frais, délicieux s’il est bien préparé. Et pour la première fois depuis ma dernière visite au Japon, j’en trouve qui tombent dans la deuxième catégorie. Les couteaux et langoustines ne sont pas en reste.
Par la suite, la coquille Saint-Jacques ravira des papilles déjà longtemps acquises aux mets de la mer féringiens.
Clin d’oeil averti s’il en est, nous recevons des gaufres de Liège avec quelques oeufs de poisson. Et chez Travelguys, nous aimons nous rendre en Belgique.
Les réminiscences de mes voyages au Japon continuent avec ces poissons frits : un plat que ma grand mère à Tokyo faisait à sa manière et dont j’ai pu retrouver, l’instant de ce repas, le goût si particulier. L’omelette est parfumée d’Aromat, particulièrement prisée en Suisse alémanique où j’ai vécu une mince partie de ma vie.
On se rapproche de la fin du repas avec cette tourte au poisson qui rappelle celle d’un dessin animé japonais très connu.
Le dessert consiste en une brioche avec un peu de crème. De quoi conclure en douceur ce séjour.
Entre soleil de minuit, délices gastronomiques et paysages uniques, les Îles Féroé sont indéniablement la destination confidentielle de référence pour un séjour d’exception, avec un sponsor de qualité pour s’y rendre, Atlantic Airways.
Travelguys renouvelle ses remerciements à Atlantic Airways et à GroupExpression pour ce voyage d’influence d’exception et cette découverte unique du panorama touristique des Îles Féroé.