Pour bien démarrer le week-end, nous avons décidé avec mon épouse de déjeuner dans ce restaurant bostonien, Marseille, nommé en hommage à la capitale phocéenne. Retour sur cette expérience en demi-teinte.

Le concept

Le concept est relativement simple : il s’agit d’une brasserie, avec une carte assez basique, qui propose des plats de bistrot français. La touche du sud est assurée par quelques notes méditerranéennes dans certains plats, mais rien de bien transcendant.

Le cadre

Pour le coup, le cadre est vraiment très agréable. Ce ne sont pas ici les clichés de la brasserie parisienne qui sont repris, mais plutôt une ambiance très élégante, au goût du jour, et qui reprend certains éléments du style Belle Époque.

La carte

Comme je le disais, un petit peu plus haut, la carte est centrée sur des plats de bistrot assez simples, avec peu d’originalité. Surtout, lors de notre visite, c’était l’offre de brunch qui était proposée, et les plats ayant un accent méditerranéen était peu présent sur cette formule.

Le repas et les plats

En entrée, je choisirai le pâté de campagne qui était plutôt bon, et assez digeste.

En plat, j’ai choisi le croque-madame, qui bien que très bien exécuté, était un peu écœurant. Les frites servies en accompagnement étaient surgelées, et l’on attend dans un tel établissement plutôt des frites maison.

En dessert, le pain perdu élaboré à partir d’un croissant était de très bonne facture.

Le service

Je dois le dire, le service était vraiment excellent, sans aucune faute, et avec une certaine chaleur.

L’ambiance

L’ambiance est vraiment très agréable, certainement raison de la beauté du lieu. Mais aussi en raison de la faible influence lors de notre passage un samedi midi.

Conclusion

Une expérience sympathique, mais que je ne renouvellerai pas tout de suite, en tout cas pas au service de brunch.