Review : Turkish Airlines en Business Class entre Phuket et Istanbul sur A330

Après un séjour rapide en Thaïlande pour assister à un mariage il est temps de rentrer en France. Me voici donc à la première étape de mon vol de retour : un Phuket-Istanbul en business sur Turkish Airlines.

Enregistrement et parcours au sol à Phuket

Comme trop souvent l’application Turkish Airlines n’a pas été capable de sortir une carte d’embarquement numérique lors de mon enregistrement en ligne et je devrai donc passer par le comptoir d’enregistrement une fois arrivé à l’aéroport.

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Il n’y a que deux personnes devant moi dans la file réservée aux passagers business donc je me dis que ça ne va pas prendre beaucoup de temps.

Tout d’un coup la personne en charge de l’enregistrement me demande d’enregistrer le bagage que je devais avoir en cabine. Je lui demande pourquoi, elle me dit qu' »à vue de nez » il est trop grand. Je lui répond que non (heu…c’est justement le principe des bagages faits exprès), elle me dit que non. Bref ça n’est pas comme si cette valise n’avait pas fait au bas mot une quinzaine de vol en cabine sur Turkish l’an dernier et aussi bien en éco qu’en business.

Ca n’est pas compliqué, il y a un peu plus loin un gabarit pour vérifier la taille des valises. Elle me répond « pas besoin de vérifier j’ai décidé« . Ah bon d’accord. Pour le coup je n’avais aucune envie de parlementer : je sais très bien que contre un agent obtus désirant montrer son autorité il n’y a pas grand chose à espérer et spécialement en Asie où jamais ils ne feront venir un superviseur en cas de problème à moins que nous ne fassiez un vrai scandale. Comme moins d’une heure avant j’avais déjà manqué d’assassiner une réceptionniste au Naka Island je laisse tomber…non sans lui avoir quasiment jeté ma valise à la figure.

Elle me remet donc ma carte d’embarquement en me précisant que ma valise est bien enregistrée jusqu’à ma destination finale c’est à dire Goteborg (d’où je repars sur Paris ensuite mais ça n’est pas le même billet). Sauf que je passe la nuit à Istanbul, mon vol pour Goteborg n’étant que le lendemain matin. Elle fait donc récupérer la valise, change l’étiquetage, réédite la carte d’embarquement…. Sans trop apprécier que je lui demande si elle gérer les correspondance « à vue de nez » comme les bagages.

Finalement je récupère ma carte d’embarquement et ma valise est bien enregistrée jusqu’à Istanbul et pas plus loin. Je casse d’ores et déjà le suspense : le lendemain elle voyagera en cabine jusque Goteborg sur un B737 (alors que là on a quand même un A330) sans le moindre problème.

Elle me tend également un bon pour accéder à je ne sais quel salon qui est le salon que Turkish Airlines utilise pour ses clients à l’aéroport de Phuket et un agent arrive pour m’y escorter. Ah ben non, je ne suis pas d’accord. Pas question d’aller là, je vais au salon Royal Orchid de Thaï où m’attend d’ailleurs Olivier en provenance d’un autre hôtel de Phuket et qui lui part vers Bali via Singapour (il va bien finir par écrire un jour les articles sur son voyage).

Donc là mon pitbull hausse te ton et me dit de manière aggressive que je dois aller là car c’est le salon auquel Turkish envoie ses passagers business et qu’on m’accompagnera là et pas ailleurs. Je lui répond que je n’ai rien à faire d’être accompagné et que j’irai comme un grand au salon Thai. Elle me répète que… et là sa collègue lui glisse que vu que je suis Star Alliance Gold je peux aller dans n’importe quel salon d’une compagnie Star Alliance et même si je voyage en éco d’ailleurs.

Je m’en vais donc tranquillement passer les contrôles de sécurité et d’immigration et quitte le comptoir Turkish sous le regard furibard du pitbull.

Les contrôles se passent comme une lettre à la poste et je rejoins donc Olivier au salon Royal Orchid de Thaï histoire de prendre le petit déjeuner ensemble avant nos vols respectifs qui partent quasiment à la même heure.

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Pendant mon séjour au salon je garde un oeil sur l’écran où est indiqué le statut des vols. Une heure avant le décollage le vol est annoncé « boarding ». Comme je disais lors du vol aller, Turkish Airlines annonce toujours des heures d’embarquement anticipées pour être sûr que tout le monde est en porte à l’heure…mais ici on n’est pas à Istanbul donc je décide de me rendre à la porte située juste à côté.

Et effectivement l’embarquement a commencé.

Embarquement à Phuket

Le moins qu’on puisse dire c’est que je trouve un joyeux bordel en porte d’embarquement. Monde agglutiné, files mal formées, on ne sait pas trop qui va où et où aller. Je me faufile à côté d’un panneau indiquant une file prioritaire et je vois qu’effectivement un agent fait le ménage pour que n’y accèdent que les personnes éligibles, ce qui n’est pas simple vu que tout le monde se sur sur tout ce qui ressemble à un passage.

Mais ça n’est pas fini…ici ne sont contrôlées que les cartes d’embarquement. Les passeports le sont dans le couloir qui mène à la passerelle. Encore un peu fouillis mais ça passe. Là je me rend compte qu’en fait la file prioritaire et la file normale avancent en parallèle voire se doublent. Bref c’est un peu n’importe quoi.

Et voilà mon passeport est contrôlé et il ne reste plus qu’à embarquer ? Et bien non ! En fait on ne peut toujours pas rentrer dans l’appareil et on est « stockés » dans la passerelle en plein soleil.

Je ne sais pas si on doit cette pagaille à Turkish Airlines où à l’aéroport mais on a déjà fait mieux en matière d’embarquement ordonné et efficace.

Au bout de 5 minutes on peut enfin rentrer dans l’appareil.

On m’apporte rapidement un verre de bienvenue, toujours sans alcool chez Turkish. Comme d’habitude pour moi ça sera citron/menthe.

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Sac à chaussure et couverture sont déjà en place.

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Arrive ensuite l’amenity kit. C’est du Versace. Même si les produits sont de qualité il fait un peu « cheap ».

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Le personnel s’affaire, aide les passagers à s’installer, et sert les boissons de bienvenue. Il y a toujours quelqu’un officiant au bar et faisant face à la cabine et, un peu comme en First sur Lufthansa par exemple, je trouve cela très agréable en tant que client d’avoir toujours quelqu’un qui regarde la cabine.

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Amusé je constate que nombre de bagages qui arrivent dans la cabine sont au moins de la taille du mien, si ça n’est plus gros…mais je vais éviter de repenser au pitbull de l’enregistrement.

Par contre une chose est certaine : sur ces A330 (mais je à mon souvenir je l’ai constaté également sur certains appareils de la flotte de Turkish Airlines mais pas tous) les coffres à bagage sont plus petits qu’ailleurs et les bagages ne rentrent qu’à condition de ne pas les mettre dans le sens de la profondeur.

On apporte les menus, dont on reparlera plus tard. La commande sera prise avant le départ pour permettre un service rapide et individualisé plus tard. Un plat manque par rapport au menu proposé…dommage.

Et voilà on est prêts à partir. Les portes sont fermées et on a le droit aux consignes de sécurité. Depuis quelques mois un film plus « classique » a remplacé les anciennes consignes « Lego 2 » qui étaient sympa aux premiers visionnements mais vite énervantes quand les voyait un peu trop.

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Par contre Turkish Airlines garde la mauvaise habitude de les passer deux fois de suite : une en turc et une en anglais. C’est pénible à la fin.

La cabine Business de Turkish Airlines

C’est la cabine que l’on trouve habituellement sur tous les bi-couloirs de Turkish Airlines mais celle de ce vol retour fait un peu plus récente que celle de l’aller. Pas différente mais ayant subi quelques « ajustements » par rapport au modèle de départ.

On est sur une configuration en 2-2-2 un peu « dépassée » à l’heure où le 1-2-1 se généralise mais l’impression d’espace est omniprésente et on est très loin du siège de devant.

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Et voici donc mon siège côté hublot. Une mini séparation se déploie en vol entre les deux sièges voisins.

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Le rangement sous l’ottoman n’est plus ouvert mais prend la forme d’un coffre.

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Et voilà ce que cela donne quand on est installé.

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Par rapport à la cabine de l’aller les rangements entre les écrans ont disparu.

Les commandes du siège ou pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué.

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La télécommande est moderne mais toujours aussi peu réactive. De manière générale, malgré un choix de films très correct, la réactivité de l’interface du système de distraction en vol est toujours un des points faibles de Turkish Airlines.

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Pour dormir, le siège devient un vrai lit totalement plat et est équipé d’accessoires spéciaux…mais on en reparlera plus tard.

Le vol et le service Business de Turkish Airlines

Un oshibori est distribué dès après le décollage. Il est tiède et pas forcément agréable, un constat récurrent chez Turkish.

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Les plats ayant été commandés avant le décollage, on vient prendre la commande des boissons. Le « chef » arrive en cabine.

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Les nappes sont mises en place et l’apéritif arrive avec des noisettes (sans goût) et des canapés).

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Le saumon fumé est très frais et le feuilleté au fromage fondant.

On vient dresser la table. Sympa le « bon appétit » en français.

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La fausse bougie (entre le pain et l’eau) rend un peu moins bien dans une cabine où la lumière du jour est omniprésente.

Voici le menu qui a été distribué au sol.

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Le chariot d’entrées arrive. C’est tout de même un autre style qu’un service au trolley !

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Inutile de choisir une entrée : on prend tout ce qu’on veut et l’assiette est dressée devant nous. Et servie avec le sourire.

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Et voilà le résultat ! Ca donne vraiment envie.

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Tout est très frais et avec beaucoup de goût. Mention spéciale pour la sauce cocktail qui accompagne les crevettes et les fruits de mer à la citronnelle ! Poulet fondant également.

L’équipage ferme les cache hublots pendant le service des entrées.

Pour le plat le boeuf proposé à la carte n’était en fait pas disponible donc je prendrai les crevettes, pas inspiré par les pâtes que je verrai sur la table de ma voisine. On m’apportera mon plat une fois l’entrée terminée, le service se faisant à l’assiette client par client au rythme de chacun et non pas collectivement pour l’ensemble de la cabine.

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Tout est impeccablement cuit, c’est fin et bon. Par contre sur les quantités je reste un peu sur ma faim.

Vient ensuite le service des fromages et desserts, encore une fois au chariot. Comme pour les entrées on choisit tous les desserts que l’on désire et l’assiette est préparée devant le passager.

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Et voilà le travail, accompagné d’un thé.

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Mention bien sur les desserts. Pour les fromages on n’est pas au niveau de Lufthansa mais ça passe.

A la fin du service je reprendrai un thé accompagné d’un cognac. Et je serai resservi plusieurs fois pendant le vol sans avoir à demander.

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Encore un excellent service de la part de Turkish Airlines avec un personnel stylé, très aimable et professionnel.

Tout le monde commence à basculer un peu en configuration « nuit » même si on est au début de l’après midi. Le vol est encore long. On notera les bougies qui décoraient les tables et que l’équipage a disposé au dessus des écrans. Par contre la cabine, on s’en doute dans une telle configuration n’est pas un exemple de « privacy ».

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Un petit tour aux toilettes avant de m’allonger. C’est propre, soit, mais je suis agréablement surpris par l’excellente odeur du parfum qui y règne.

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Pour s’allonger et dormir l’équipage équipe le siège d’un « mini sur-matelas ». Alors ça ne vaut pas et de loin les équipements qu’on peut avoir en First mais pour une business c’est quasi unique et très appréciable.

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Les passagers sont un peu trop proches et on manque d’intimité dans cette cabine.

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Mais allongé on est bas dans la structure du siège et on oublie vite son voisin sauf qu’on voit son écran de télé (dommage si l’un veut dormir et l’autre pas). Sur ce vol de jour on a plus somnolé que dormi mais on a vu à l’aller que le risque de lui faire du pied n’est pas nul non plus.

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La mini séparation que l’on peut tirer entre les deux sièges assure un minimum, sans plus.

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Comme d’habitude sur Turkish Airlines le personnel a été très actif de l’embarquement à la fin du service du repas puis a totalement disparu de la cabine pour le reste du vol.

Alors que le vol commence à approcher de sa fin je retourne aux toilettes et fait un tour au bar dressé à l’avant de la cabine. Il a été pillé et pas réapprovisionné.

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On va nous servir le snack d’arrivée et tout le monde commence à se remettre un peu en place. On a le choix entre des rigatoni et du poulet, je choisirai le poulet. Je crois bien que c’est la première fois sur une business long courrier qu’on me donne le choix du plat sur la seconde prestation servie en vol, qui est en général un plateau standard qui est le même pour chaque passager.

Et là encore le service se fait à l’assiette en fonction du moment où le passager est prêt et pas à la file pour toute la cabine avec un trolley.

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Mais où est donc mon poulet ? En fait non seulement sur Turkish Airlines on a le choix du plat pour la seconde prestation mais en plus elle est apportée en deux services (en long comme en moyen courrier en business class d’ailleurs). Là encore c’est assez rare (voire unique ?) pour être signalé.

Le poulet suivra donc une fois que j’aurais terminé l’entrée.

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Je ne parlerai pas des entrées et desserts très frais mais je donnerai une mention spéciale au poulet remarquablement fondant ce qui est loin d’être la norme en avion.

On s’approche de l’arrivée et la cabine se prépare peu à peu pour l’atterissage.

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L’équipage Turkish Airlines

Turkish Airlines a été fidèle à sa réputation avec un personnel très aimable, disponible, efficace et stylé. Mais si l’équipage est irréprochable je ferai toujours la même remarque qui, elle concerne davantage le protocole.

Une fois encore le personnel a quasi totalement disparu de la cabine une fois le repas servi pour ne ressortir du galley que pour servir la seconde prestation. C’est dommage, on apprécierait des rondes un peu plus régulières.

Arrivée et débarquement à Istanbul

On arrivé à Istanbul avec 1h d’avance. En consultant l’historique de ce vol je me rend compte que c’est très fréquent pour ce Phuket-Istanbul.

Après un très long roulage (comme d’habitude ici) on arrive enfin à l’aéroport.

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Je sors rapidement de l’appareil et entame une longue marche vers l’immigration (à Istanbul tout est loin). Il y a un peu d’attente mais il existe une file prioritaire pour les passagers business et l’affaire est réglée en 30 secondes. Je réalise que c’est peut être la 10e fois que je passe par ce nouvel aéroport depuis son ouverture il y a moins d’un an mais la première fois que je découvre le circuit arrivées car je n’y ai fait jusqu’alors que des correspondances.

Nous sommes fin février, on commence un peu à parler du COVID-19 en Europe et je vois que des appareils prennent la température des passagers à distance pendant le débarquement. Autant vous dire que le lendemain ni à Goteborg, ni à Francfort ni à Paris je ne verrai un quelconque dispositif de prévention.

J’attendrai ma valise une quinzaine de minutes. C’est loin d’être aussi catastrophique qu’à Roissy mais j’ai pensée pas forcément aimable pour le pitbull de l’enregistrement.

Une fois ma valise récupérée mon voyage n’est pas totalement terminé : vu la durée de ma correspondance (14h), Turkish Airlines m’offre une nuit d’hôtel. Comment en bénéficier, comment cela se passe-t-il, la promesses est elle tenue ? Je n’en ai pas la moindre idée et c’est ce que je vais tester de suite. On en parle dans une prochaine review.

Avis

Un excellent vol avec un service parfait et un catering impeccable. On regrettera juste une cabine qui ne correspond plus aux standards du marché, un embarquement un peu pagaille et surtout l’attitude du personnel à l’enregistrement.

Pour mémoire mon routing :

Turkish Airlines Business Class Phuket Istanbul sur A330

Enregistrement
Embarquement
Cabine : siège
Cabine : propreté
Divertissement en vol
Nourriture : goût
Nourriture : recherche
Nourriture : présentation
Nourriture : choix
Personnel :Service
Personnel : disponibilité, amabilité
Débarquement
Lounges / service et expérience au sol
Ponctualité
Rapport Expérience/prix

Excellent...au moins en vol

Un excellent vol ou tout a été parfait au niveau du personnel et du catering. On regrettera la configuration de la cabine sans aucune intimité et, surtout, le comportement détestable des agents à l'enregistrement.

Bertrand Duperrin
Bertrand Duperrinhttp://www.duperrin.com
Voyageur compulsif, présent dans la communauté #avgeek française depuis la fin des années 2000 et passionné de (longs) voyage depuis sa jeunesse, Bertrand Duperrin a cofondé Travel Guys avec Olivier Delestre en mars 2015. On peut le retrouver aussi aussi sur http://www.duperrin.com où il parle depuis plus de 10 ans de la transformation digitale des organisations, son métier quand il est au sol.
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