Après quelques réunions intenses à Genève et une courte nuit au Ritz-Carlton Hôtel de la Paix, me voici de nouveau en route pour Paris et une nouvelle demi-journée intense.
Voici l’itinéraire réservé :
Arrivée à l’aéroport et enregistrement
Comme évoqué dans le report de l’aller, j’étais déjà enregistré et avais choisi un surclassement payant… Avec la déception que vous avez pu constater dans ce report.
Je savais par Kristof que le salon de Genève resterait fermé jusqu’à mi-septembre (nous sommes fin août 2020), j’arrive donc à l’aéroport peu de temps avant l’embarquement, en Uber depuis l’hôtel (la ligne de train étant interrompue en raison d’un incident caténaire).
Je passe directement en secteur France après avoir montré ma carte d’embarquement à l’agent de sécurité et procède directement à la sécurité.
Le Fast Track est ouvert et me fera gagner une bonne dizaine de minutes, une seule file étant ouverte au PIF.
Le salon sera bien fermé…
Je patienterai quelques minutes en salle d’embarquement avant de début de ce dernier.
Embarquement
L’embarquement commence à l’heure et les passagers SkyPriority sont invités à embarquer par la file dédiée.
L’agente d’embarquement est particulièrement antipathique, et fait son travail mécaniquement, sans aucun sourire. Je la plains.
Je me retrouve parmi les premiers en passerelle.
Cabine et accueil
La cabine est la traditionnelle Smart & Beyond que nous avons l’habitude d’avoir en moyen courrier.
L’accueil en porte est néanmoins beaucoup plus chaleureux qu’à l’aller, avec de grands « bonjour » et « bienvenue » et une attention particulière pour les passagers Business.
Mon voisin sera infect avec l’équipage pendant tout le vol alors qu’ils ont été adorables avec tous les passagers, on en rigolera avec l’équipage lors de mon passage au galley pendant le vol…
Service et catering
Juste après le décollage, le service commence. Je n’ai pas de surprise, il est identique à celui de l’aller. Mais là, l’équipage se démène pour satisfaire les passagers au maximum, avec des repasses de champagne et de snacks.
Ils se sentent honteux de servir ce produit… Faites quelque chose chez Air France, bon sang !
Arrivée et débarquement
Nous arrivons à l’heure, et devrons passer le contrôle de la PAF à l’arrivée, mais qui sera heureusement déserte.
Conclusion
Comme quoi, même avec un catering pourri, quand l’équipage est bon, cela rattrape tout. Cela s’est vérifié encore une fois.
Air France Business post-COVID, Genève Cointrin - Paris CDG, Airbus A320 : Heureusement que l'équipage est là
Enregistrement
Embarquement
Cabine : siège
Cabine : propreté
Nourriture : goût
Nourriture : recherche
Nourriture : présentation
Nourriture : choix
Personnel : Service
Personnel : disponibilité, amabilité
Débarquement
Lounges / service et expérience au sol
Ponctualité
Rapport Expérience/prix
Bien
Comme quoi, même avec un catering pourri, quand l’équipage est bon, cela rattrape tout. Cela s’est vérifié encore une fois.