Après mon vol commercial longuement retardé depuis Boston, voici venue l’heure du transfert en hélicoptère vers Manhattan.
Pour rappel, voici l’itinéraire suivi :
| # | Type | Report |
|---|---|---|
| 1 | Salon | American Airlines Admirals Club, Boston Logan (non reporté) |
| 2 | Vol | American Airlines Domestic First, Boston Logan – New-York JFK, Embraer 175 |
| 3 | Vol | Blade Helicopter, New-York JFK – Manhattan West 30th Street, Xcel Bell 407 |
| 4 | Hôtel | The St. Regis New-York |
| 5 | Vol | Blade Helicopter, Manhattan West 30th Street – New-York JFK, Xcel Bell 407 |
| 6 | Salon | British Airways & American Airlines Soho Lounge, New-York JFK (non reporté) |
| 7 | Vol | American Airlines Domestic First, Boston Logan – New-York JFK, Embraer 175 (non reporté) |
Parcours au sol, accueil et embarquement
Avant et pendant mon vol commercial depuis Boston, je reçois quelques SMS du service Blade pour coordonner mon arrivée au terminal d’aviation privée.
Lorsque j’arrive curbside, le chauffeur Blade m’attend et je suis immédiatement pris en charge par un énorme SUV qui m’emmène droit vers le terminal d’aviation commerciale.
À mon arrivée, ma pièce d’identité est vérifiée et je suis invité à patienter dans le salon d’embarquement. Dans ce salon, pas de boisson soft, une simple machine à café qui ne sera d’ailleurs pas très bon. L’expérience est assez basique.
Après une trentaine de minutes d’attente, les passagers sont invités à se rendre à pied à l’hélicoptère, et mes bagages sont transportés par un valet.
Cabine et vol
La cabine est de taille très réduite, puisque seuls cinq passagers sont admis à bord. Lorsque la cabine est complète, le confort est vraiment spartiate.
Le vol se passe tranquillement, et c’est au bout de six minutes que nous atterrissons à l’Ouest de Manhattan.
Arrivée et débarquement
Mais bagages sont pris en charge, et après un passage aux toilettes, je m’engouffre dans le Uber Black qui avait été réservé à mon attention et qui m’emmènera directement au St. Regis.
Conclusion
Une expérience vraiment agréable et sans couture, mais l’attente prolongée au terminal d’aviation commerciale de JFK rend l’expérience un peu moins fluide.
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