Suite et fin de ce déplacement professionnel parisien avec ce retour vers Londres Heathrow.
Pour rappel, voici l’itinéraire suivi :
Parcours au sol et embarquement
J’arrive à CDG près de 2h avant le départ du vol. Apprenant de mon expérience précédente, je file directement au contrôle de police prioritaire sans passer par la case enregistrement.
Au contrôle de police prioritaire, la file n’avance pas d’un poil et pour cause : les guérites ne sont pas staffées, aucun policier n’est présent. Il faudra attendre 10 bonnes minutes (sans doute la fin de la pause café) pour voir la Police aux frontières arriver et commencer à processer les passagers prioritaires. Il faudra 30 bonnes minutes avant d’arriver à un agent très bourru.
Une fois ce contrôle passé, je débarque dans un zoo, où les passagers font la queue dans tous les sens pour accéder au Hall K.
Aujourd’hui, mon vol vers Londres embarque du hall L, je dois donc prendre la navette automatique pour m’y amener.
Une fois arrivé au poste d’inspection filtrage, pas de file prioritaire, et aucun respect des distanciations sociales. Mais c’est passé en moins de 10 minutes.
Une fois airside, je me rends au salon Air France situé au 1er étage et accessible par ascenseur. Notons qu’un salon temporaire a été mis en place pour certaines autres compagnies utilisant le T2E.
Une fois arrivé à l’accueil, je trouve porte close ! Le salon du Hall L, en effet, ferme à 14h malgré la présence de vols Air France en partance depuis ce terminal jusqu’à 18h30 !
Je patiente donc en zone publique (aucun comptoir service client n’étant staffé pour demander un voucher).
50 minutes avant l’embarquement, je me rends en porte, passe le contrôle de sécurité supplémentaire pour vérification du Passenger Locator Form anglais et du test COVID, et patiente jusqu’au début de l’embarquement.
L’embarquement débute 30 minutes avant le départ, mais la file prioritaire n’est pas bien matérialisé et il débute dans la plus grande désorganisation.
Je suis second à passer la porte, et nous patientons encore 5 bonnes minutes derrière un cordon avant de pouvoir embarquer.
Cabine et accueil
L’accueil est plutôt neutre et je me rends à mon siège, le 01F. Pendant l’embarquement, la cheffe de cabine passe distribuer oshibori froids et bouteilles d’eau.
Service et catering
Une fois les PNC libérés, miracle, le service est de retour, et pas comme une faveur. Le trolley est même de sortie et, même si les sachets de snacks premium ont remplacé le plateau, c’est déjà mieux que rien ! Le champagne économique a d’ailleurs laissé sa place au champagne moyen-de-gamme servi traditionnellement sur Air France, ici, du Duval Leroy.
J’aurais même le droit à plusieurs refills.
Arrivée et débarquement
Nous arrivons en porte avec une bonne vingtaine de minutes d’avance, et je débarque presque en premier en passerelle. L’attente sera d’une trentaine de minutes à l’immigration, et je me délesterai de £210 pour deux tests COVID à J2 et J8, désormais obligatoires même en cas de commute hebdomadaires.
Conclusion
Un très bon vol. Je ne comprends vraiment pas la différence de service entre le sens Londres-Paris et le sens Paris-Londres. La réponse du service client est lunaire… Dont acte.
Air France Business, Paris CDG - London LHR, Airbus A318 : Service au sol inexistant à CDG
Embarquement
Cabine : siège
Cabine : propreté
Nourriture : goût
Nourriture : recherche
Nourriture : présentation
Nourriture : choix
Personnel : Service
Personnel : disponibilité, amabilité
Débarquement
Lounges / service et expérience au sol
Ponctualité
Rapport Expérience/prix
Bof
Un très bon vol. Je ne comprends vraiment pas la différence de service entre le sens Londres-Paris et le sens Paris-Londres. La réponse du service client est lunaire… Don’t acte.