Après deux heures passées au salon, j’embarque pour ce premier vol de l’itinéraire vers Genève. Pour rappel, voici l’itinéraire suivi :
Embarquement
J’arrive en porte peu après l’heure théorique d’embarquement. Ce dernier n’a toujours pas commencé, et les files d’attente se multiplient dans tous les sens.
Je m’installe dans l’une des files un peu au pif, et patienterai 10 bonnes minutes avant que l’embarquement ne commence.
Les passagers prioritaires sont invités à emprunter la file ad hoc matérialisée par un petit panneau.
Aucun accueil particulier First en classe. Vraiment un problème de formation des équipes au sol d’Heathrow qui sont en dessous de tout.
Cabine et accueil
Ce n’est pas la première fois que j’emprunte l’A220 de Swiss et j’aime toujours autant cet appareil.
Il est configuré en 2-3, et donc en 1-2 en cabine Business.
Les sièges sont néanmoins assez peu confortables, et ma place en bulkhead a un pas finalement assez réduit.
Juste avant le décollage, une bouteille d’eau et une lingette désinfectante sont distribués aux passagers Business, geste apprécié.
Nous partirons d’Heathrow avec 15 minutes de retard.
Je suis étonné que la compagnie suisse ne propose pas le Wifi sur cet appareil récent.
Service et catering
Le service commence une dizaine de minutes après le décollage.
Les plateaux repas sont d’abord distribués, et je suis étonné de voir un plat chaud sur ce plateau !
Il s’agira d’une belle omelette aux asperges qui s’avèrera délicieuse, malgré la présentation perfectible.
Malgré l’heure matinale, je me ferai servir une coupe de Duval-Leroy servi frappé et donc excellent.
J’aime beaucoup la vaisselle de Swiss.
J’aurais des refills constants de Champagne, jusqu’à ce que je demande au Maître de Cabine d’arrêter… En lui demandant de m’amener un café noir, qui me sera élégamment amené avec un chocolat suisse de qualité.
Le panier de chocolats fera ensuite son apparition et j’en prendrai deux !
Arrivée et débarquement
Nous arrivons en porte avec une quinzaine de minutes de retard sur l’horaire.
En raison des problèmes de main d’œuvre dans le secteur, le handler mettra près de 10 minutes pour arriver et attacher la passerelle, étant donné que nous sommes arrivés d’un pays hors Schengen.
Un bus réservé aux passagers First et Business évitera toute perte de temps. L’immigration sera franchie rapidement grâce aux portiques de contrôle automatiques.
Conclusion
Un vol sans histoire, des problèmes opérationnels comme dans toutes les compagnies en ce moment, mais un service à bord parfait bien que froid de prime abord.